Y-Bro est un groupe né de la même passion de deux frères pour la musique. Leurs inspirations plurielles créent un cocktail détonnant et très enrichi. Complémentaires et audacieux, ce duo harmonieux a su charmé Redline au travers d'une interview autour de la musique et de la joaillerie, deux domaines partageant cette même ambition de savoir-faire et de créativité...

Depuis quand connaissez vous Redline ?
Harold : Je connais Redline depuis la création je crois bien. J’ai la chance d’avoir découvert le talent de la créatrice depuis le début.
David : On a été confrontés au talent de la créatrice depuis le début comme il l'a dit. Et un talent pareil ça saute aux yeux, alors on a suivi ça de près jusqu'à aujourd'hui.

Qu'est ce que vous aimez dans ces bijoux ? Que représentent-ils pour vous?
Harold : Je trouve que ces bijoux sont à la fois classes et discrets, mais ils font leur effet ! Quand tu as un bracelet Redline au poignet tout le monde le sait, tout le monde le reconnait et pourtant tu n’as pas un bijou « bling bling ».
David : Redline, ses bracelets, tout ça part de quelque chose de simple, de l'imaginaire, et ça c'est concrétisé, c'est devenu énorme. Ce que j'aime chez Redline, c'est que le parcours de la marque, est exactement celui que je voudrais pour les Y-Bro, on est des personnes très simples, à l'imaginaire constamment en marche, reste plus qu'à espérer que les gens s'y retrouvent, autant qu'ils portent vos bracelets !

Quel est votre modèle Redline favori ?
Harold : Il y en a un que j’aime particulièrement c’est le modèle TUBE avec un fil noir et en or blanc. Je suis vraiment fan de celui la. Apres j’aime le fait que cette marque soit partie d’un modèle bien précis, se soit développée et touche énormément de monde, aujourd’hui.
David : Moi, je partage le même avis pour le TUBE mais j'avoue avoir un vrai faible pour le PURE HOMME, il est simple, mais au poignet, il envoie !

Que faites vous dans la vie ?
Harold : Alors dans la vie, je fais des études d’expertise comptable… Je sais ca dénote pas mal par rapport au coté « artiste », mais ca m’influence en fait beaucoup ! Ca nous influence beaucoup, réussir à trouver le juste milieu entre mener à bien des études et aller jusqu’à une sécurité pour plus tard et réussir à accomplir de grandes choses dans la musique…
David : Moi je suis en Droit Notarial, en 5ème année.. Comme l'a dit Harold, c'est un vrai moyen de garder l'équilibre, et surtout de garder les pieds sur terre..Si je m'écoutais, je lâcherais tout, du jour au lendemain, pour faire le tour des salles et de la France, rapper et chanter autour du monde, mais on a conscience que c'est dur, et bien entendu, il faut penser à construire une vie. Alors on travaille les cours, mais on continue de rêver, et d'espérer que ça marche, que ça explose même, pour vivre enfin de notre passion ! Qui sait peut-être grâce à l'interview Redline ? (sourire)

Quelles sont vos passions ?
Harold : depuis mes 6 ans j’aime la danse, (Hip-Hop/Breakdance) pendant tout mon collège et lycée ensuite j’ai un peu arrêté.
En parallèle, la musique a toujours été présente, que ce soit pour l’écouter, pour danser ou pour créer ! Et je dois avouer qu’aujourd’hui la passion pour la musique a dépassé toutes les autres sans les effacer.David : La musique, c'est prépondérant, j'ai passé ma vie à en écouter. Mon père nous en mettait en voiture, quelle que soit la durée du trajet, on a été élevés au son des Beatles, Stevie Wonder, et on a bifurqué vers le Rap ricain, d'où toutes les inspirations qu'on sent dans nos chansons. Mais il y a une passion qui a aussi beaucoup occupé ma vie, assez singulière, l'astrophysique ! J'ai même chez moi un des plus gros télescopes amateurs de France (en tout ça sil l'était à l'époque ou je l'ai acheté).

Quelle est la personne la plus importante dans votre vie? Racontez nous votre relation avec elle ?
Harold : Je ne vais pas être très original mais la personne la plus importante pour moi, c’est mon frère ! C’est grâce à lui qu’aujourd’hui on accompli ces choses la ensemble. On a une relation assez fusionnelle, tout le monde nous prend pour des jumeaux, on a les mêmes expressions, les mêmes amis, on sort très souvent ensemble quelque soit le lieu. Donc c’est vrai qu’au final si on rajoute à cela la musique on est vraiment tout le temps ensemble.
David : Haha, la question la plus simple. Harold, mon frère (Papa, maman, ne m'en voulez pas !) J'ai tout vécu avec lui, tout. Ses amis sont les miens, mes amis sont les siens. On s'est toujours tout racontés, et je vois pas comment ça pourrait être différent un jour. Et puis voilà qu'on vit ensemble notre passion, vous ne pouvez pas savoir à quel point s'est rassurant de ne pas être seul, de se dire qu'on à ce miroir en face, aussi contradictoire que ça puisse être, mon frère dans la musique comme partout, c'est un peu mon autocritique !

Quelques mots pour vous décrire ?
Harold : Persévérant ! On est obligés de tout donner pour faire partager notre musique au plus de monde possible.
Créatif, enfin on l’espère, mais on est en constante recherche de nouvelles mélodies, de nouvelles influences ou autres…
Bon vivant, c'est plus qu'important de nos jours, ça permet de pas se laisser aller à des pensées sombres, même si elles sont parfois bénéfiques dans la musique.
David : D'abord, j'ai envie de dire Curieux. Je suis toujours à l'affut de nouvelles choses à apprendre, dans les actualités, musicales comme dans tous les autres domaines, et j'ai toujours été questionneur, c'est peut être un vilain défaut, mais moi ça m'a vraiment servi !
Apres, je suis quelqu'un de sûr. Quelqu'un sur qui on peut compter, se reposer, je suis comme ça, parce que moi même je suis assez exigent avec les personnes qui m'entourent, alors je n'aimerais pas qu'on dise de moi que je ne suis pas de confiance, pas présent.
Et puis, disons, positif. Pas toujours bien entendu, mais j'essaye, c'est très important, et d'ailleurs, sans ça, on aurait abandonné la musique avant même d'avoir commencé !

Merci les garçons pour cette interview et bravo !

Retrouvez l'univers de Y-Bro sur leur page officielle et écoutez leurs morceaux Rapsterpiece et Make law.