Rencontre avec Cédric, un bloggeur passionné qui a les yeux rivés sur Paris et ses merveilles. Il nous livre ses bonnes adresses et une interview exclusive sur sa passion, son blog – Parisian Eye.

D’où vous est venu l’idée de ce blog ?
J’adore le contact avec les autres. Je suis quelqu’un de très sociable et c’est pourquoi je travaille dans la communication. L’idée de mon blog est venue petit à petit. J’ai la chance d’avoir des amis dans le milieu très fermé de la mode qui me permet de sortir dans des endroits branchés. Et un jour, je me suis dit pourquoi ne pas en faire profiter les autres ?! De fil en aiguille, ça m’a permis de faire des rencontres. C’est une aventure de tous les jours, une vraie passion !

Que vous apporte votre blog ?
C’est un vrai complément à mon métier. Il m’apporte ce que mon travail ne m’offre pas. La mode est une passion pour moi et comme je ne travaille pas dans ce secteur, c’est aussi un moyen d’y entrer. C’est enrichissant pour ma part, car on voit l’envers du décor, comment les marques nous reçoivent en tant que bloggeur et non comme client, c’est toujours particulier et je dois le dire, amusant !

Votre rapport au monde de la mode, quel est-il ?
Mon métier, je dirais qu’il est en contradiction avec la mode. L’image est importante dans notre société, et je travaille dans un milieu assez « sérieux ». La mode est jugée très sévèrement comme futile, inutile et inaccessible. Ce n’est pas moi qui le dit mais c’est un préjugé que les gens ont. Le luxe, la mode et les tendances portent très souvent une étiquette. Cet univers a un prix, mais pas forcément le plus cher comme on peut le croire. Pourquoi les gens sont-ils si passionnés ou au contraire si amer à propos de la mode ? Moi, j'avoue aimer la mode et jouer avec les tendances sans pour autant négliger la rigueur qu'exige mon job.

Un souvenir qui vous a marqué ?
Je suivais depuis plusieurs saisons déjà les collections Balenciaga, un vrai bonheur à chaque fois. Jusqu'au jour où les lignes de prêt-à-porter ne me plaisaient plus et le style avait évolué à mon grand regret. C’est alors que je faisais quelques recherches et je m’aperçus que l’ancien couturier, Barnabé Hardy, était parti. Le hasard faisant bien les choses, je le rencontrais pour la première fois lors d’une vente privée, totalement par hasard, et ce fût un vrai coup de cœur. Depuis, je suis ces collections sur le Bon Marché.

Comment avez-vous connu RedLine ?
Je venais de m’installer à Paris, c’était il y a 6 ans, au tout début de la marque aussi. Je flânais chez Colette, une vraie découverte pour moi, et je me suis épris de ce fil rouge. Je trouve le concept d'un Diamant sur un fil véritablement original et branché. D'autant plus que ce sont les précurseurs en la matière.

Que signifie pour vous RedLine ?
Je connaissais déjà le bracelet Kabbale que toutes les stars affichaient fièrement à leur poignet, et pour moi RedLine reprenais cette symbolique en y intégrant le luxe d’un diamant. Je fus totalement conquis par l’idée et depuis, je suis la marque chez Colette et sur leur site internet.

Votre bijou RedLine favori ?
Oh il y en a trop ! Je n'arrive jamais à me décider sur lequel choisir (rires). Je pencherais plus pour le bracelet Golden Road noir et or.

Une anecdote à nous faire partager ?
C’était à mes tous débuts sur Paris, je découvrais la mode Parisienne et je venais de m’offrir un cabas de chez Prada, un vrai coup de cœur malgré le prix. Avec le temps, il s’est abimé assez vite et je n’osais plus le porter à cause de son aspect. J’étais extrêmement déçu par la qualité alors que Prada bénéficie d’une notoriété forte. Je décidais de me rendre à la boutique de Paris mais sans conviction pour voir s’il pouvait le réparer. Et, à ma grande surprise, ils l’ont renvoyé au SAV de Milan et m’ont offert un avoir du montant de l’achat initial. Je suis convaincu que le service après vente est le reflet d’une entreprise de qualité. Si Prada n’avait pas pris en charge mon problème, je ne vous en n’aurais pas parlé en bien, et j’en aurais une mauvaise image.

Vos bonnes adresses ?
L’éclaireur, 26 avenue des Champs-Elysées 75008 Paris

Barnabé Hardy, au Bon Marché Paris

Topman 214-216 Oxford Street London

Colette, 213, rue Saint Honoré 75001 Paris

Merci, 111 boulevard Beaumarchais 75003 Paris

Les Galeries à Palais Royal

Votre devise :
If you want it, come and get it

Un grand merci à Cédric de nous avoir fait partager son univers si passionnant. En espérant vous retrouver très vite sur Parisian Eye.